Son père, professeur au conservatoire de Milan, a fondé son propre conservatoire quand il s’est installé en Argentine.
A treize ans, il gagne déjà sa vie comme professeur de solfège et de violon. Désapprouvé par son père qui le chasse quand il s’oriente vers le tango. Il a joué dans les orchestres de Eduardo Arolas, Osvaldo Fresedo, Juan Carlos Cobián, le quatuor Delfino/Fresedo/Francia/De Caro.
Vers 1920, il adopte le violon-cornet ▲▲ pour donner plus de volume sonore à son instrument lors des concerts et des enregistrements.
29 mai au 12 juin 1931, séjour en France. Grand succès à l'Empire, à Paris. Il donne un concert à Nice, au Palais de la Méditerranée, au début duquel Gardel se lève pour présenter l'orchestre de Julio De Caro, pour dire que c'est le plus grand orchestre de tango, et demander des applaudissements.
Durant ce séjour, il accompagne Carlos Gardel, dans le film Luces de Buenos Aires, pour le tango Tomo y obligo. Il enregistre, chez Brunswick, Yira Yira ▲▲ et Gaucho noble.
Il a fondé un sextuor célèbre, dans lequel ont joué Pedro Maffia et Pedro Laurenz.
Il a participé à la direction de la SADAIC pour défendre les droits d’auteurs.
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