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C'est une sorte de guitare à douze cordes, mais plus petite, en forme de poire. Elle se joue avec un plectre ou un médiator. Elle est d'origine espagnole et s'utilise pour les pièces de folklore, les zarzuelas, les sévillanas, etc. En Argentine, fin XIX° siècle, elle a été jouée par Eusebio Aspiazu " El cieguito ". C'était aussi un des instruments joués par Andrés Chazarreta, grand spécialiste du folklore argentin. |
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Mario Melfi ▲▲ était d'abord percussioniste, puis contrebassiste, puis bandonéoniste. Il a joué de la batterie entre autres dans l'orchestre Bachicha ▲▲. |
Juan Maglio "Pacho" introduit une batterie dans sa formation, comme on peut le voir à gauche de la photo de son orchestre ▲▲ de 1920. José Galarza tient la flûte et la batterie. |
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A gauche de la photo de l'orchestre de Francisco Lomuto ▲▲, on voit nettement un clarinettiste. Dans sa formation de 1922, Francisco Lomuto a confié la clarinette et le saxophone à Carmelo Aguila et Primo Starderi. |
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Avant le bandonéon, des musiciens introduisent parfois le concertina ▲▲ dans les petites formations musicales. Dans la suite de l'histoire du tango, cet instrument ne sera pas repris. |
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Astor Piazzolla introduit la guitare électrique dans son orchestre Octeto Buenos Aires, qu'il forme en 1955, après son séjour à Paris, à son retour à Buenos Aires. Il confie la guitare électrique à Horacio Malvicino. L'Octeto est dissous en 1958. Malvicino continue dans le Quinteto. Puis, dans le Quinteto Nuevo, 1981-1985, c'est Oscar Lopez Ruiz qui joue de la guitare électrique. |
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La guitare hawaïenne est parfois utilisée dans des orchestrations de tango : Malvaloca, 1930, F.Canaro. |
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La harpe a appartenu aux orchestres des origines. La guitare l'a remplacée assez tôt. La harpe refait épisodiquement apparition dans certains orchestres. Osvaldo Fresedo l'incorpore à son orchestre de 1918 ▲▲. Et Florindo Sassone de même, en 1936 ▲▲. Des formations plus récentes ont également utilisé la harpe. |
Le harpiste argentin Isbelio Godoy a enregistré le LP : " Isbelio Godoy y su arpa." H&R 7028.* |
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Lamistes (musiciens qui jouent de la scie musicale) dans le tango : Rafael Canaro, Juan Caldarella. |
- http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=qV4qka8qmbM#at=52. Jean-Claude Welche joue l'Ave Maria, de Gounod à la scie musicale ! |
Scie musicale dans les enregistrements suivants : |
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On l'appelle aussi violon à cornet, violon à pavillon, violon entonnoir, violon Stroh, ou stroviol. Pour amplifier le son, le violon a été modifié en remplaçant sa caisse de résonnance par une membrane et un cornet, en prenant modèle sur le principe du phonographe. Le son est très nasal et censé être entendu de plus loin que celui de l'instrument traditionnel. C'est un instrument typique de la région du Bihor, en Roumanie, et fréquent dans les orchestres fokloriques. On attribue son invention à Augustus Stroh (1828-1914). Il a été utilisé par des orchestres de jazz, surtout pour les enregistrements. En 1918, "Pepino" Bonano joue du violon-cornet dans l'orchestre de Juan Maglio "Pacho". Puis Julio De Caro adoptera cet instrument. Il disparaîtra avec le progrès des microphones. |