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Pour les danseurs, c'est la manière de se tenir, de s'enlacer. |
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Dans le but de réaliser un bon « abrazo »/une bonne « étreinte », les partenaires se penchent sensiblement, pas plus loin toutefois que leurs métatarses respectifs. Les genoux restent souplement déverrouillés. Par la suite, les bustes des partenaires entrent en contact subtilement. Dans un premier temps, la femme crée un léger espace entre son corps et son bras gauche en soulevant légèrement ce dernier. Elle permet ainsi à l'homme de l'enlacer de son bras droit. Et sa main vient se poser, délicatement, sur l'omoplate gauche de la femme . Ensuite, la partenaire entre en contact avec l’homme, posant légèrement son avant-bras gauche sur celui du partenaire. Tout cela en veillant à n'avoir pas le coude en l'air. Puis, en tendant le bras gauche sa main vient reposer sur le dos ou le bras droit de l’homme, précisément entre le triceps et le biceps de l’homme. Dans un deuxième temps, l’homme tend son bras gauche. Et, il propose sa main à sa partenaire. Elle vient poser sa main droite délicatement sur celle-ci, Ou bien : Les partenaires se penchent sensiblement; pas plus loin toutefois que leurs métatarses respectifs. Les genoux restant souplement déverrouillés. Par la suite, les bustes des partenaires entrent en contact subtilement. Dans un premier temps, l’homme tend son bras gauche. Et il propose sa main à sa partenaire. Elle vient poser sa main droite délicatement sur celle-ci. Dans un deuxième temps, la femme crée un léger espace entre son corps et son bras gauche en soulevant légèrement ce dernier. Elle permet ainsi à l’homme de l'enlacer de son bras droit. Et sa main vient se poser, délicatement, sur l'omoplate gauche de la femme . Ensuite, la partenaire entre en contact avec l’homme en posant son avant-bras gauche son avant-bras gauche sur celui du partenaire. Tout cela en veillant à n'avoir pas le coude en l'air. Puis, en tendant le bras gauche, sa main vient reposer sur le dos ou le bras droit de l’homme, précisément entre le triceps et le biceps de l’homme. Nous étreindre, c’est nous toucher d’une manière ample et profonde. C’est libérer des émotions et les partager. Lorsque l'on s'abandonne à l’étreinte, nous impliquons une grande partie de notre corps : nous nous enveloppons mutuellement. En laissant les pensées au second plan afin de profiter de cette manifestation de confiance momentanée, nous sommes capables d’accompagner et d’être accompagnés dans l’émotion et la respiration. Il est important de reconnaître les vraies étreintes. Celles dont nous profitons lorsque nous baissons la garde. En s’enlaçant, les corps communiquent sans besoin de mots. Quand nous nous laissons emmener par les sentiers « del abrazo », nous profitons de cette intimité pour transmettre ce que nous ressentons. La communication au sein des expériences émotionnelles peut s’en trouver facilitée. Les étreintes aident à démêler des nœuds à deux. Elles réconfortent. Leur pouvoir thérapeutique favorise la bonne santé et le bien-être ! |
Source : Courriel du 18 01 2011 de Juan Sebastian (Dj Juancito)
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Article de Nicole Oury. L’abrazo : « Parle avec elle » Je pourrais vous parler de l’abrazo sur un plan technique, vous dire que les doigts de la main droite de l’homme doivent aller pratiquement jusqu’à telle partie de l’omoplate droite de sa partenaire…. que les visages de l’homme et de la femme doivent se situer perpendiculairement ou joue contre joue. Nous pourrions prendre des cotes, des centimètres et quantifier l’abrazo. Toutes ces considérations là ne seraient pas inutiles, elles permettent d’apprendre à danser mais l’abrazo, n’est-il pas, comme le souligne Bernard Casas-Reales, au-delà de toute technique, la manière dont l’homme parle, s’adresse à sa partenaire avec son corps, sa danse et comment celle-ci y répond ? Nicole OURY |
Juan Sebastian propose de consulter une vidéo des danseurs Sebastian Achaval et Roxana Suarez pour voir un bel exemple d'abrazo : http://www.youtube.com/ |
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