La lata, c’est le jeton que les prostituées recevaient du client qui l'achetait à la maquerelle, et qui représentait la moitié de la somme payée par lui. Ensuite, le souteneur prélevait sa part, avec la formule consacrée « Dame la lata ». Certains de ces jetons ont été conservés. Ils portent parfois le nom de l’établissement et son adresse.
L’auteur pourrait aussi être un certain Juan Pueblo.
Horacio Salas reconstitue l’histoire de ce tango. Ce tango est considéré comme l’un des plus anciens, et l’un des premiers témoignages de poésie argotique.